Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.

26 février 2013

L'énergie qu'absorbe l'homme et qui va du grossier (nourriture) au subtil (énergies fines), a deux sorts possibles.
Le premier est celui de la reproduction. L'énergie fine s'arrête au plus haut degré de notre réalité, et sert à créer un nouvel être.
Le second est la création du corps subtil. L'énergie fine peut passer de la reproduction à l'activation d'une sensibilité supérieure, mais pour cela, elle a besoin du choc nécessaire à son passage, et ce choc est celui de la perception, de la conscience.

En effet, par la reproduction l'individu cherche à fusionner avec une réalité extérieure intangible, il cherche donc à communiquer avec un niveau plus profond derrière les apparences.
Cette même communication est possible avec la conscience lorsqu'une haute sensibilité est activée, permettant un accès direct à la réalité spirituelle des choses. C'est alors en quelque sorte une "communion".

Sans cette activation, l'énergie fine restera au palier de la sexualité et ne servira qu'à la création d'un nouveau corps.

19 février 2013

Chaque personne, parce qu'unique, m'a donné un peu.
Je suis le composé de tous les composés.

Il y a essentiellement deux type de pensée
Celle qui pense que "tout peut arriver", et
Celle qui pense que "tout est déjà arrivé et ne peut que se reproduire".
L'univers réagit à notre type de pensée en nous attribuant plus ou moins d'énergie,
Et donc, nos destinées sont plus ou moins libres.

La musique contient et réveille une information,
La glande pituitaire active la zone cérébrale,
la musique ré-informe le corps.

La connaissance, c'est tisser des liens.
Plusieurs points de vue donnent de la profondeur aux objets.
Les mots d'un texte restent bidimensionnels, vide de sens, sans cette communication entre les points d'observation.
Les observateurs et les sources, forment l'objectivité.
Les regards sont comme des faisceaux qui éclairent de différentes couleurs, et si la "combinaison" est bonne, apparaît le blanc, l'objectivité.
Voir un objet objectivement ouvre un canal sur son "code source", sur son information holographique qui se trouve dans un espace hyperdimensionel.

17 février 2013

Nous avons souvent besoin de nous approcher de près d'un phénomène pour en connaître sa réalité.
Il faut qu'une météorite tombe pour prendre conscience de l'impact du phénomène.
Ou il faut être rentré dans le système pour en connaître ses rouages, ses mécanismes implacables de domination.
Ou bien avoir été témoin de phénomènes "extraordinaires" pour comprendre que notre réalité est une illusion sous surveillance.
Bref, il faut s'être ouvert à la connaissance des phénomènes pour être certain de leur réalité.
Tout est possible.

11 février 2013

Le plus troublant dans ce monde c'est que les gens ne sont pas des gens.
Ce sont des cristallisations d'influences cosmiques.
De sorte que toute interaction est une interaction avec un type d'influence cosmique, un principe, révélé en chaque être.

Deux possibilités quand on est séparé en conscience d'un idéal de soi.
Ou bien l'abandonner, ou bien l'intégrer.
Ce n'est possible qu'en descendant d'un niveau vers la matière (brisant la tension intérieure) ou bien en montant d'un niveau vers l'esprit.
La vision globale des aspects de soi les fait coïncider par ce regard surélevé.

Ma perception, c'est moi.


Il est courant de dire que le temps et l'espace est une illusion.
Mais il est difficile de se représenter en quoi le temps et l'espace sont une illusion.
L'explication selon laquelle la réalité est perçue par le corps, et qu'il n'y a pas de "réalité", laisse à penser que "l'extérieur" est "loin" de nous.
Cela revient à recréer une illusion. Difficile de sortir de ce cercle.

Tout se passe donc à l'intérieur du corps.
Mais le corps que nous voyons est-il le "vrai" corps ?
Nous ne connaissons pas le corps, nous en avons qu'une illusion. Pourtant, tout se passe "dans le corps de la conscience", et c'est ce corps qui est inconnu.
En lui se trouvent toutes les réalités (toutes les dimensions et toutes les possibilités de corps).
Le microcosme et le macrocosme sont la MÊME chose.

10 février 2013

Ce qui construit et ce qui retient notre identité, 
Et ce qui ouvre et dissout notre identité,
Sont deux forces opposées,
La plupart du temps perçues comme contradictoires.
Le désir lunaire et le rayonnement solaire.
Mais nous les séparons car nous ne percevons pas leur origine commune,
Désir de soi et désir du monde sont une même force divisée.
Elles s'affrontent toutes deux à la recherche de l'être.
Or les deux polarités de l'aimant sont en vérité une unité qui maintient et crée tout l'univers.

5 février 2013

La compréhension dérive de deux facteurs : l'acquisition de connaissance brute, et la capacité pour le cerveau de visualiser cette connaissance comme un élément intégré dans l'ordre des choses. Une vision du monde est déterminée par un "câblage" et chaque nouvelle connaissance nécessite pour être visualisée et intégrée un nouvel "effort mental" de "câblage", qui n'est pas effectué lorsqu'on n'a plus la possibilité (ex: carences alimentaires) ou la volonté de changer en conscience.

4 février 2013

Nous naissons avec un potentiel de libre-arbitre (luminosité) et un karma (obscurité, conditionnement). 

Jetés dans ce monde, nous sommes confrontés à de multiples liens qui nous altèrent en terme d'énergie, c'est-à-dire d'information. Chaque "information" produit une manifestation, de même que chaque vibration sonore va produire une figure différente dans le sable. L'âme est un assemblage dynamique d'informations qui donne lieu à notre "corps". Tous les liens que l'on forme vont produire un échange d'information.

L'attention est un transfert d'information : le regard "informe", crée, rend "vivant"

Le personnes qui viennent avec une charge énergétique élevée vont être repérées comme pouvant soulager les autres (sous forme d'amour, d'attention).Mais cette attention portée n'offre pas la résolution du trouble (karma) d'une personne. Le trouble sera transféré au "guérisseur" ("soutien") et provoque dans sa vie les effets qui devaient concerner la personne ayant le trouble à l'origine. C'est ainsi que les maladies (des troubles au niveau du tissu informationnel, des "tâches d'obscurité" non informée) se propagent par des liens (empathie, attachement).

Une personne qui veut "aimer" veut en général faire porter ("partager") à quelqu'un d'autre ses troubles ("fardeau") pour se sentir mieux. 

Mais cela entraîne une dépendance de la part de la personne qui s'est débarrassée du fardeau (car elle n'a pas dissout d'elle-même ce fardeau, elle n'a pas gagné en force/luminosité), et elle va avoir besoin de la personne "soutien" de façon régulière. Comme avoir faim pour un repas. C'est du vampirisme. La personne qui ainsi s'est proposée comme soutien recherchait aussi de l'attention, mais elle a reçu pour le prix de cette attention des influences très mélangées dans le "package", qui sont à la fois créatrices et destructrices.

C'est ainsi que nous sommes en tant qu'adultes des réceptacles d'influences très diverses qui affectent notre psyché, notre état énergétique et donc, nos choix, notre futur, notre vie (karma). 

Donc, nous sommes reliés à diverses personnes qui ont planté leur "énergie", comme avec une "ancre" en nous, car nous leur avons permis de le faire. Pour chaque ancre retirée consciemment, chaque parcelle de luminosité récupérée, il y a une "compensation" à apporter (sous forme de cadeau, de remerciement...) Toutes les interactions quotidiennes impliquent un échange d'énergie qui, dans les conditions actuelles, est en majorité destructeur, car la plupart des gens ont un "fardeau", un karma, une obscurité, très importante; d'où le besoin de se "vouer" à autrui plutôt que d'être sa propre autorité et décider de sa vie en toute responsabilité.

Chacun donc, chercher à faire peser sur autrui son ombre dès que l'occasion s'en présentera. 

Cela produit la projection, le transfert, et ce qu'on appelle communément "amour". Si ce "transfert" de son ombre était impossible, il y aurait une impression d'insatisfaction profonde puis de désaveu devant cette tentative d’hameçonnage interrompue. Le problème de tout cela est que chaque fil du karma est comme un lien qui empêche à l'âme (l'oiseau) de s'envoler et prendre sa réelle dimension. Nous sommes comme prisonniers d'une toile d'araignée reliant les esprits et nous rattachant au principe entropique, destructeur et anti-être, qu'ont choisi une majorité de personnes.

De la sorte, il est facile de se "perdre", tout le trouble du monde extérieur est injecté en soi, et nous dissocie de l'intérieur.