Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.

6 septembre 2005

C’est une modeste maison d’angle. Au croisement de deux ruelles, c’est une flèche qui pointe vers le centre du village, légèrement moins haut placé. Angles aigus, volets rouges, pavés. Les échos de la vallée frémissent ici. Les portes sont lourdes. Une mezzanine sous le toit. Les hautes fenêtre sur une façade recouverte de mousse sont frappantes. L’atmosphère est légère, avant la nuit, il a plu. Bleus parfumés. Les iris éclosent sous les charmes tortueux, qui entourent la maison. Quelque part, il est un ruisseau.